Jacques SALOME - Lettre à mon corps- Etre en paix avec son corps. Ami ami ?

Bonjour mon corps,

C’est à toi que je veux dire, aujourd’hui,

combien je te remercie de m’avoir accompagné sur les chemins de ma vie.

Je ne t’ai pas accordé l’intérêt, l’affection ou plus simplement le respect que tu mérites.

Souvent, je t’ai même maltraité, matraqué de reproches violents,

ignoré par des regards indifférents,

rejeté avec des silences pleins de doutes.

Tu es le compagnon dont j’ai le plus abusé, que j’ai le plus trahi.

Et aujourd’hui, à ce moment de ma vie, un peu ému,

je te redécouvre avec tes cicatrices secrètes, avec tes lassitudes, avec tes émerveillements et tes possibilités.

Je me surprends, surprends à t’aimer, mon corps, avec des envies de te câliner, de te choyer ou te donner du bon.

J’ai envie de te faire des cadeaux uniques,

de dessiner des fleurs et des rivières sur ta peau,

de t’offrir du Mozart,

de te donner les rayons du soleil

et de t’introduire aux rêves des étoiles.

Tout cela à la fois dans l’abondance et le plaisir.

Mon corps, je te suis fidèle.

Oh, non pas malgré moi, mais dans l’acceptation profonde de ton amour.

Oui, j’ai découvert que tu m’aimais, mon corps.

Que tu prenais soins de moi,

que tu respectais ma présence.

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Combien de violences as-tu affrontées pour me laisser naître,

pour me laisser être,

pour me laisser grandir avec toi !

Combien d’accidents as-tu traversés pour me sauver la vie !

Mon corps, maintenant que je t’ai rencontré, je ne te lâcherai plus.

Nous irons jusqu’au bout de notre vie commune.

Et quoi qu’il arrive, nous vieillirons ensemble.

Jacques Salomé

Lettre à mon corps (adapté pour mon usage personnel)

(Merci Monsieur)

Bonjour mon Corps,

C’est à toi que je veux dire aujourd’hui combien je te remercie de m’accompagner sur le chemin de ma vie.

Je veux t’accorder l’intérêt, l’affection et le respect que tu mérites.

Souvent, je t’ai même maltraité, ignoré, rejeté.

Tu es la compagne dont j’ai le plus abusé, que j’ai le plus trahi.

Et aujourd’hui, un peu émue, je te redécouvre avec tes mémoires, tes forces secrètes, avec tes joies, avec tes émerveillements et tes possibilités.

Je me réjouis de t’aimer, mon corps, avec des envies de te câliner, de te choyer ou te donner du bon, avec toute ma tendresse.

J’ai envie de te faire des cadeaux uniques, de dessiner des fleurs et des rivières pour toi, de te donner tout ce dont tu as besoin, de t’offrir du Mozart, de te donner les rayons du soleil et de t’introduire aux rêves des étoiles.

Tout cela à la fois dans l’abondance et le plaisir.

Mon corps, je te suis fidèle.

Oh, non pas malgré moi, mais dans l’acceptation profonde de ton amour.

Oui, j’ai découvert que tu m’aimes, mon corps.

Que tu prends soin de moi,

Que tu me respectes.

Combien de violences as-tu affrontées pour me laisser naître,

Pour me laisser être,

Pour me laisser grandir avec toi !

Tu me sauves, prends soin de moi, me couvres de ton amour maternel et sensuel !

Mon corps, maintenant que je t’ai retrouvé, je ne te lâche plus. Nous allons ensemble.

Nous avançons ensemble.